Dans le TGV
Pour beaucoup la SNCF est un fournisseur officiel de grèves et d'ennuis, les très nombreux commentaires laissés à la suite de quelques-unes de mes notes le confirment (ici, là ou là. L’agacement génère un vocabulaire imagé rarement flatteur pour la SNCF qui se cache derrière des numéros surtaxés ou des emails qui ne fonctionnent pas.
Alors que faire, puisqu’on est captif du machin. Prendre son mal en patience et observer l’autre protagoniste du drame : le voyageur, c’est à dire nous, vous, moi. C’est ce que fait très bien l’auteur de ce blog : dansletgv.com. Une ethnographie du voyage en train. Entre travail, sieste et passage à la voiture-bar, il y a toujours un passager qui sort du lot. Le train génère une certaine dynamique de groupe et révèle nos défauts. C’est bien vu, allez voir.
Commentaires
Oui, c'est bien le mot qui correspond à la sncf : fournisseur officiel d'ennuis.
Je suis cobaye sur le TGV Est, ils devraient nous payer pour emprunter ces trains. Pas assez de places, retards sytèmatiques, stress. A ce tarif le train, par rapport à la voiture n'a aucun intêret.
Comme disent les anglais, la sncf c'est de plus en plus "All show, no go".
Postée le: Serge | 28 juin 2007 10h28