La Paz
Un guide, jeune et lui aussi compétent, intelligent, saisissant bien ce qui nous intéressait nous a fait faire un tour de ville, s’arrêtant bien sûr à l’incontournable site de La Vallée de La Lune maintenant avalée par la mégapole et dominée par l’imposante masse de La Molaire du Diable et L’Illimani drapés dans leurs neiges éternelles.
Nous avons vu la cathédrale, le musée de l ‘or, le marché des sorcières, mais aussi les égouts à ciel ouvert (la ville n’ayant pas d’usine de traitement des eaux usées) les quartiers chics et les pauvres.
Nous avons eu le temps de nous reposer un peu (nous sommes entre 3600 et 4000 mètres !) avant de repartir seuls pour une nouvelle visite autour de l’hôtel: l’église San Franscisco et surtout la rue Sagarnaga avec ses petites et ses grandes boutiques où tous les touristes se retrouvent pour acheter (après marchandage bien sûr, bien que les prix soient un peu moins élevés qu’au Pérou) des vêtements en alpaga, des instruments de musique andins (vrais et faux), des bijoux en argent et de l’artisanat: les femmes tricotent des montagnes de petits animaux à enfiler sur les doigts pour faire des mini-marionnettes : c’est un vrai plaisir de plonger la main dans les réserves pour y dégoter un agneau, un lama, un pingouin, un éléphant ou encore bien d’autres bestioles.
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